
Lundi 6 janvier 2014,
« L'instinct de survie est le plus puissant de nos sens. »
« L'instinct de survie est le plus puissant de nos sens. »
PDV Roy
Aujourd'hui, c'est la rentrée. Les vacances sont finies. J'ai envie de dire, enfin. Pourquoi, me direz-vous ? Et bien tout simplement car une journée de cours est plus reposante que tout ce qui a pu m'arriver durant ces vacances... Il est 06h30. Je me réveille. Je fais mon lit, déjeune, me lave, m'habille, me coiffe et il est déjà 07h30. Je me met en route pour le lycée. Les cours commencent à 08h00. Je n'habite pas très loin du lycée. Après 15 minutes de marche, me voilà arrivé. Dehors, il fait froid. J'aurais du prendre le manteau que ma mère m'a tendu. Elle s'inquiète beaucoup pour moi ces temps-ci. Il y a de quoi. Même moi je m'inquiète à propos de ce dont sera fait le futur. Surtout depuis ce fameux Mercredi 25 décembre 2013. J'ai bien cru que j'allais mourir. C'était l'année dernière et pourtant il y a seulement quelques jours. C'est pour cela que le temps m'inquiète. Mais le temps est-il vraiment le même pour nous tous ? En tout cas, par pour ces créatures. Ces vampires. Car oui, maintenant, j'en ai le c½ur net. Ces jumelles, et beaucoup d'autres personnes encore, sont des vampires... Je pensais que je pouvais me tromper. Mais c'était avant le jour où je me suis fait assommer...
Maintenant que j'ai commencé mon récit, je me dois de le finir, et de vous raconter dans les détails ce qui m'est arrivé ce jour là. Premièrement, le trou noir. Mais croyez moi, j'aurais préféré rester dans le noir plutôt que de vivre ce que j'ai vécu. La lumière m'a rappelé que j'étais dans mon pire cauchemar. Mais malheureusement pour moi, ce cauchemar n'en était pas un. Trêve de description. Passons-en aux faits. Je suis assis, dans le noir. Je ne sais pas où je me trouve, je suis désorienté. Je me lève. J'ai mal. Oui. J'ai mal derrière ma tête. C'est l'endroit où mon « kidnappeur » a frappé pour m'assommer. Je saigne. Une lumière s'allume. Je m'attendais à voir une des deux jumelles. Celle que j'avais électrocuté avec mon taser, mais non. Je me trompais. C'était un homme. Noir. Musclé. Son visage restait sans expression, il avait les traits durs. Je sentais que cet homme ne me voulait pas de bien. J'avais raison.
- T'es enfin réveillé ? Me dit-il.
- Je suppose que oui. C'est un cauchemar ?
- Oui. On peut dire ça comme ça.
- Qui êtes-vous ?
- Ferme la.
- Pardon ?
- Ta gueule !
- Tu vas voir si... Il me coupa.
- T'es pas là pour argumenter. T'es là pour parler.
- Parler ?
- Ouais, parler.
- Et j'dois vous parler de quoi ?
- De ce que tu sais d'eux.
- C'est qui eux ?
- Joue pas les innocents.
- Mais j'vois vraiment pas de quoi vous parlez monsieur.
- Des vampires.
- Ah ? Eux ?
- Bref, tu sais quoi sur ces filles ?
- Les jumelles ?
- Oui.
- J'les connais pas. J'sais juste que l'une est plus gentille que l'autre, mais aussi plus sauvage.
- Quoi d'autre ?
- Rien.
- Elles habitent où ?
- Je ne sais pas.
- Tu mens.
En effet, je mentais. Pourquoi ? Je ne sais pas. J'avais l'impression que c'était mon devoir. Je ne les connaissais pas. Je ne savais rien d'elles. Enfin, presque rien. Et pourtant, je savais que notre destin serait lié. J'allais continuer à mentir durant l'interrogatoire. A nier le peu de choses que je pouvais savoir. Personne n'en serait rien. Les jumelles ne le sauraient même pas. Je n'aurais aucun remerciement. Mais je me devais de le faire. Et si je devais mourir pour cela. Je mourrai.
- Tu l'auras voulu. Me lança-t-il.
- Je n'ai rien voulu, moi. Je ne vous ai pas demandé de m'amener ici, de me questionner et de me juger alors que vous ne me connaissez pas. Vous vous permettez de dire que je mens mais qui êtes-vous ?
- Ton pire cauchemar.
- Je pensais que mon pire cauchemar serait plus terrifiant...
J'avais tort. C'était mon pire cauchemar, et je ne l'ai su que par après. Il pris un couteau. J'essayais de me défendre mais j'étais menotté.
- Qu'allez-vous faire ? Laissez moi ! Je n'ai rien à voir avec tout cela !
- Tu en sais plus que quelconque humain sur terre sur les créatures présentes autre que notre espèce, sur terre.
- Non ! Je ne sais rien !
- Calme toi bonhomme, dis toi que c'est un privilège auquel tu vas avoir le droit.
- Posez ce couteau ! Je n'ai rien demandé ! Je ne veux pas de votre privilège !
- Puisque tu n'arrives pas à côtoyer ces vampires en étant humain, c'est en étant autre chose que tu les approcheras...
- Autre chose ? Et puis pourquoi moi ? Pourquoi ce ne serait pas à vous de devenir cette « chose » ? C'est vous qui voulez tout savoir d'eux, pas moi !
- Tu n'as donc pas compris ? Ton privilège a un prix, et tu le découvriras bien assez tôt. C'est trop dangereux pour moi et tu en connais désormais trop, sur eux, sur moi, sur nous...
- Je ne veux pas être un cobaye de laboratoire !
- Allons, allons... Si tu répètes ce que je t'écrirais sur un bout de papier, tout ira pour le mieux.
J'avais peur. Je ne savais pas ce que j'allais devenir. La « chose » que j'allais devenir... L'homme préparait son opération. Il déposait des bougies, rouges, autour de moi...
- L'heure n'est pas venue. Dit-il.
- L'heure ?
- Oui, il te faudra attendre deux jours. Ce sera la pleine lune.
- Je ne sais pas ce que vous manigancez mais je veux rentrer chez moi !
- Tu rentreras chez toi. Mon but n'est pas de te tuer. Mon but est de t'étudier. D'étudier la « chose » que tu vas devenir.
- Et mes parents ?
- Ce n'est pas mon problème.
Il me lança un bol de soupe, un morceau de pain et tourna les talons. Le lendemain, il vint me rendre visite trois fois, sans dire un mot. Juste pour me nourrir. Je mangeais toujours la même chose. A force, je ne ressentais même plus le goût.
Le soir, en même temps que mon repas, il apporta son couteau et un briquet.
- L'heure est venue.
- Je suppose que je ne peux plus tenter de m'échapper ?
- Non. Tu peux juste prier.
- Prier ?
- Prier pour que ton instinct de survie soit assez fort.
- Et s'il ne l'est pas ?
- Je devrais trouver quelqu'un d'autre pour mon opération.
- Cela veut dire que...
- Oui.
Il me tendait le morceau de papier dont il avait mentionné l'existence la dernière fois. Je le lisais dans ma tête. Dessus y était inscrit, sous la forme d'un poème :
« Créatures d'aujourd'hui,
Dans la noirceur de la nuit,
L'odeur du sang,
La lune, m'attirant,
Le diable me hante,
Mes griffes repoussantes,
Font de moi un être sans peur,
Différent, je ne ressens aucune douleur,
Ô Lucifer,
Offre moi ta colère,
Fais de moi un hybride,
Mi-Loup Mi-Vampire,
Afin qu'à mon tour,
Par haine ou par amour,
Je puisse faire souffrir ».
- Tu veux que je lise ce truc ?
- Oui.
- Mais t'es un psychopathe ?
- Oui.
- Non mais tu crois sérieusement que ces quelques mots peuvent changer un être ?
- Oui. Ah et au fait, ta gueule.
- Non mais...
- Ta gueule !
Il allumait à l'aide de son briquet, les bougies qu'il avait disposé deux jours auparavant. Puis il me faisait signe de lire. Je lisais. A peine eu-je finis, il me planta son couteau en plein dans mon c½ur.
- NOOOOOOOOOOOON !
- Résiste gamin, résiste.
- Mais...
- T'es un hybride.
- Je...
Je me sentais partir. Je vis la lumière. Puis je me réveillais. Sur la banc où j'avais été assommé il y a maintenant trois jours. Je regardais l'immeuble où habitait l'une des deux jumelles. Je n'avais rien dit. Je n'étais pas mort. J'avais réussi. Je pensais que tout cela était un rêve...
Je rentrais chez moi.
- Maman !
- Mon chéri ! Où étais-tu ?! Ton père et moi nous nous sommes fait un sang d'encre ! Nous avons prévenu les autorités qui t'ont cherché sans pour autant te trouver ! Juste cette écharpe t'appartenant, sur un banc, un peu plus loin...
- J'étais chez un ami. Chez Bryan. Lui répondis-je solennellement.
- Mais... Tu ne nous as pas appelé ! Nous croyons que tu étais...
- Mon téléphone est mort. Moi je vais bien.
- Tu as l'air fatigué, tu as une bien petite mine...
- On a pas beaucoup dormi. Je vais bien maman, je vais bien.
Je la pris alors dans mes bras. En la rassurant j'essayais également de me rassurer. Je montais à l'étage afin de prendre une douche. Imaginez ma stupeur quand je découvrais une cicatrice du côté de mon c½ur en me déshabillant... Ce n'était pas un rêve.
Revenons-en à mon arrivée au lycée...
Je franchissais les portes du lycée, me dirigeais vers mon premier cours, m'asseyais, écoutais. Une fille arriva alors en retard. Une nouvelle. C'était une des deux jumelles... La gentille. Malya Roberts...
Aujourd'hui, c'est la rentrée. Les vacances sont finies. J'ai envie de dire, enfin. Pourquoi, me direz-vous ? Et bien tout simplement car une journée de cours est plus reposante que tout ce qui a pu m'arriver durant ces vacances... Il est 06h30. Je me réveille. Je fais mon lit, déjeune, me lave, m'habille, me coiffe et il est déjà 07h30. Je me met en route pour le lycée. Les cours commencent à 08h00. Je n'habite pas très loin du lycée. Après 15 minutes de marche, me voilà arrivé. Dehors, il fait froid. J'aurais du prendre le manteau que ma mère m'a tendu. Elle s'inquiète beaucoup pour moi ces temps-ci. Il y a de quoi. Même moi je m'inquiète à propos de ce dont sera fait le futur. Surtout depuis ce fameux Mercredi 25 décembre 2013. J'ai bien cru que j'allais mourir. C'était l'année dernière et pourtant il y a seulement quelques jours. C'est pour cela que le temps m'inquiète. Mais le temps est-il vraiment le même pour nous tous ? En tout cas, par pour ces créatures. Ces vampires. Car oui, maintenant, j'en ai le c½ur net. Ces jumelles, et beaucoup d'autres personnes encore, sont des vampires... Je pensais que je pouvais me tromper. Mais c'était avant le jour où je me suis fait assommer...
Maintenant que j'ai commencé mon récit, je me dois de le finir, et de vous raconter dans les détails ce qui m'est arrivé ce jour là. Premièrement, le trou noir. Mais croyez moi, j'aurais préféré rester dans le noir plutôt que de vivre ce que j'ai vécu. La lumière m'a rappelé que j'étais dans mon pire cauchemar. Mais malheureusement pour moi, ce cauchemar n'en était pas un. Trêve de description. Passons-en aux faits. Je suis assis, dans le noir. Je ne sais pas où je me trouve, je suis désorienté. Je me lève. J'ai mal. Oui. J'ai mal derrière ma tête. C'est l'endroit où mon « kidnappeur » a frappé pour m'assommer. Je saigne. Une lumière s'allume. Je m'attendais à voir une des deux jumelles. Celle que j'avais électrocuté avec mon taser, mais non. Je me trompais. C'était un homme. Noir. Musclé. Son visage restait sans expression, il avait les traits durs. Je sentais que cet homme ne me voulait pas de bien. J'avais raison.
- T'es enfin réveillé ? Me dit-il.
- Je suppose que oui. C'est un cauchemar ?
- Oui. On peut dire ça comme ça.
- Qui êtes-vous ?
- Ferme la.
- Pardon ?
- Ta gueule !
- Tu vas voir si... Il me coupa.
- T'es pas là pour argumenter. T'es là pour parler.
- Parler ?
- Ouais, parler.
- Et j'dois vous parler de quoi ?
- De ce que tu sais d'eux.
- C'est qui eux ?
- Joue pas les innocents.
- Mais j'vois vraiment pas de quoi vous parlez monsieur.
- Des vampires.
- Ah ? Eux ?
- Bref, tu sais quoi sur ces filles ?
- Les jumelles ?
- Oui.
- J'les connais pas. J'sais juste que l'une est plus gentille que l'autre, mais aussi plus sauvage.
- Quoi d'autre ?
- Rien.
- Elles habitent où ?
- Je ne sais pas.
- Tu mens.
En effet, je mentais. Pourquoi ? Je ne sais pas. J'avais l'impression que c'était mon devoir. Je ne les connaissais pas. Je ne savais rien d'elles. Enfin, presque rien. Et pourtant, je savais que notre destin serait lié. J'allais continuer à mentir durant l'interrogatoire. A nier le peu de choses que je pouvais savoir. Personne n'en serait rien. Les jumelles ne le sauraient même pas. Je n'aurais aucun remerciement. Mais je me devais de le faire. Et si je devais mourir pour cela. Je mourrai.
- Tu l'auras voulu. Me lança-t-il.
- Je n'ai rien voulu, moi. Je ne vous ai pas demandé de m'amener ici, de me questionner et de me juger alors que vous ne me connaissez pas. Vous vous permettez de dire que je mens mais qui êtes-vous ?
- Ton pire cauchemar.
- Je pensais que mon pire cauchemar serait plus terrifiant...
J'avais tort. C'était mon pire cauchemar, et je ne l'ai su que par après. Il pris un couteau. J'essayais de me défendre mais j'étais menotté.
- Qu'allez-vous faire ? Laissez moi ! Je n'ai rien à voir avec tout cela !
- Tu en sais plus que quelconque humain sur terre sur les créatures présentes autre que notre espèce, sur terre.
- Non ! Je ne sais rien !
- Calme toi bonhomme, dis toi que c'est un privilège auquel tu vas avoir le droit.
- Posez ce couteau ! Je n'ai rien demandé ! Je ne veux pas de votre privilège !
- Puisque tu n'arrives pas à côtoyer ces vampires en étant humain, c'est en étant autre chose que tu les approcheras...
- Autre chose ? Et puis pourquoi moi ? Pourquoi ce ne serait pas à vous de devenir cette « chose » ? C'est vous qui voulez tout savoir d'eux, pas moi !
- Tu n'as donc pas compris ? Ton privilège a un prix, et tu le découvriras bien assez tôt. C'est trop dangereux pour moi et tu en connais désormais trop, sur eux, sur moi, sur nous...
- Je ne veux pas être un cobaye de laboratoire !
- Allons, allons... Si tu répètes ce que je t'écrirais sur un bout de papier, tout ira pour le mieux.
J'avais peur. Je ne savais pas ce que j'allais devenir. La « chose » que j'allais devenir... L'homme préparait son opération. Il déposait des bougies, rouges, autour de moi...
- L'heure n'est pas venue. Dit-il.
- L'heure ?
- Oui, il te faudra attendre deux jours. Ce sera la pleine lune.
- Je ne sais pas ce que vous manigancez mais je veux rentrer chez moi !
- Tu rentreras chez toi. Mon but n'est pas de te tuer. Mon but est de t'étudier. D'étudier la « chose » que tu vas devenir.
- Et mes parents ?
- Ce n'est pas mon problème.
Il me lança un bol de soupe, un morceau de pain et tourna les talons. Le lendemain, il vint me rendre visite trois fois, sans dire un mot. Juste pour me nourrir. Je mangeais toujours la même chose. A force, je ne ressentais même plus le goût.
Le soir, en même temps que mon repas, il apporta son couteau et un briquet.
- L'heure est venue.
- Je suppose que je ne peux plus tenter de m'échapper ?
- Non. Tu peux juste prier.
- Prier ?
- Prier pour que ton instinct de survie soit assez fort.
- Et s'il ne l'est pas ?
- Je devrais trouver quelqu'un d'autre pour mon opération.
- Cela veut dire que...
- Oui.
Il me tendait le morceau de papier dont il avait mentionné l'existence la dernière fois. Je le lisais dans ma tête. Dessus y était inscrit, sous la forme d'un poème :
« Créatures d'aujourd'hui,
Dans la noirceur de la nuit,
L'odeur du sang,
La lune, m'attirant,
Le diable me hante,
Mes griffes repoussantes,
Font de moi un être sans peur,
Différent, je ne ressens aucune douleur,
Ô Lucifer,
Offre moi ta colère,
Fais de moi un hybride,
Mi-Loup Mi-Vampire,
Afin qu'à mon tour,
Par haine ou par amour,
Je puisse faire souffrir ».
- Tu veux que je lise ce truc ?
- Oui.
- Mais t'es un psychopathe ?
- Oui.
- Non mais tu crois sérieusement que ces quelques mots peuvent changer un être ?
- Oui. Ah et au fait, ta gueule.
- Non mais...
- Ta gueule !
Il allumait à l'aide de son briquet, les bougies qu'il avait disposé deux jours auparavant. Puis il me faisait signe de lire. Je lisais. A peine eu-je finis, il me planta son couteau en plein dans mon c½ur.
- NOOOOOOOOOOOON !
- Résiste gamin, résiste.
- Mais...
- T'es un hybride.
- Je...
Je me sentais partir. Je vis la lumière. Puis je me réveillais. Sur la banc où j'avais été assommé il y a maintenant trois jours. Je regardais l'immeuble où habitait l'une des deux jumelles. Je n'avais rien dit. Je n'étais pas mort. J'avais réussi. Je pensais que tout cela était un rêve...
Je rentrais chez moi.
- Maman !
- Mon chéri ! Où étais-tu ?! Ton père et moi nous nous sommes fait un sang d'encre ! Nous avons prévenu les autorités qui t'ont cherché sans pour autant te trouver ! Juste cette écharpe t'appartenant, sur un banc, un peu plus loin...
- J'étais chez un ami. Chez Bryan. Lui répondis-je solennellement.
- Mais... Tu ne nous as pas appelé ! Nous croyons que tu étais...
- Mon téléphone est mort. Moi je vais bien.
- Tu as l'air fatigué, tu as une bien petite mine...
- On a pas beaucoup dormi. Je vais bien maman, je vais bien.
Je la pris alors dans mes bras. En la rassurant j'essayais également de me rassurer. Je montais à l'étage afin de prendre une douche. Imaginez ma stupeur quand je découvrais une cicatrice du côté de mon c½ur en me déshabillant... Ce n'était pas un rêve.
Revenons-en à mon arrivée au lycée...
Je franchissais les portes du lycée, me dirigeais vers mon premier cours, m'asseyais, écoutais. Une fille arriva alors en retard. Une nouvelle. C'était une des deux jumelles... La gentille. Malya Roberts...